Buch, Französisch, Band 129, 151 Seiten, Format (B × H): 155 mm x 239 mm, Gewicht: 272 g
Buch, Französisch, Band 129, 151 Seiten, Format (B × H): 155 mm x 239 mm, Gewicht: 272 g
Reihe: Bibliotheque Des Cahiers de Li
ISBN: 978-90-429-2721-6
Verlag: PEETERS PUB
Cet ouvrage se donne pour double objectif de livrer un état des lieux de la pseudo-traduction au plan théorique et d’en faire évoluer le périmètre ainsi que la définition. Au fil de réflexions et d’analyses méticuleuses, il convoque théoriciens et textes clés tout en proposant un éclairage nouveau rendu nécessaire par les nouvelles études de cas proposées. Partant de Cervantès et le Don Quichotte, en lequel il voit la grande pseudo-traduction d’origine, l’auteur trace une ligne qui mène jusqu’au cœur de l’œuvre de Samuel Clemens en passant par ce curieux ouvrage attribué à Walter Scott, Walladmor, un volume sur la prise de Grenade signé Washington Irving et une nouvelle de Nathaniel Hawthorne. Le lecteur est invité à suivre cette quête des traces, signes, indices et motivations qui rendent la pseudo-traduction signifiante et la font être en lien non seulement avec la traduction, mais également avec les langues et le langage. L’auteur a pour ambition ici de faire œuvre de traductologue, d’historien de la littérature américaine du XIXe siècle, de bibliographe et d’enquêteur. Au terme d’une analyse que l’on a voulue vive, fluide et d’une lecture agréable, cette étude en profondeur contribuera à redonner à la pseudo-traduction une juste place dans le discours théorique sur la traduction.
Cet ouvrage se donne pour double objectif de livrer un état des lieux de
la pseudo-traduction au plan théorique et d’en faire évoluer le
périmètre ainsi que la définition. Au fil de réflexions et d’analyses
méticuleuses, il convoque théoriciens et textes clés tout en proposant
un éclairage nouveau rendu nécessaire par les nouvelles études de cas
proposées.
Partant de Cervantès et le Don Quichotte, en lequel il voit la grande
pseudo-traduction d’origine, l’auteur trace une ligne qui mène jusqu’au
cœur de l’œuvre de Samuel Clemens en passant par ce curieux ouvrage
attribué à Walter Scott, Walladmor, un volume sur la prise de Grenade
signé Washington Irving et une nouvelle de Nathaniel Hawthorne.
Le lecteur est invité à suivre cette quête des traces, signes, indices
et motivations qui rendent la pseudo-traduction signifiante et la font
être en lien non seulement avec la traduction, mais également avec les
langues et le langage. L’auteur a pour ambition ici de faire œuvre de
traductologue, d’historien de la littérature américaine du XIXe siècle,
de bibliographe et d’enquêteur. Au terme d’une analyse que l’on a voulue
vive, fluide et d’une lecture agréable, cette étude en profondeur
contribuera à redonner à la pseudo-traduction une juste place dans le
discours théorique sur la traduction.